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Archibald, l'archiviste
20 octobre 2007

87-

87-

Ce soir comme tant d'autres de par le passé,
Je m'endors non sans peine, fatigue et nervosité.
Une ombre, au dessus de ma lourde tête,
M'observe de ses grands yeux malhonnetes.

Depuis que mon corps a quitté mon étude
Et oublié le boulet de ma servitude,
L'être inconnu anime mon esprit amorphe
D'un fouilli de théories endomorphes.

"Qui étaient tous ces grands savants et génies,
Etaient-ils seulement humains ou doués de magie? "
Alors les muscles atrophiés et l'esprit éseulé

Se laissent gagner par la nuit et l'obscurité
Tandis que l'ombre et les fantomes de mes amours
Attendent patiemment leur existence d'un jour.

Guiz, le 17/10/07 à 14h20

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